Fabien Prêtre fait bonne impression

Merci à Marie-Zélie Cupillard et au Magazine Edith pour ce portrait. Famille, recrutement, chiffres … découvrez qui se cache derrière l’entrepreneur.

Portrait Magazine Edith

A Orléans, pas mal de légendes urbaines circulent sur Easyflyer. Et parmi elles, celle qui dit que Fabien Prêtre embaucha un jour l’un de ses salariés après qu’il lui eut mis une « pige » au baby-foot… « C’est vrai », admet ce self made man dont les méthodes agitent le petit monde orléanais. Lui s’en fiche, convaincu que son modèle et son mode de management à l’américaine (décontraction et transparence) ont contribué à sa réussite. Il ne cache d’ailleurs rien à ses salariés, qu’il considère comme sa « deuxième famille », pas même les négociations menées secrètement avec Cimpress, le numéro 1 mondial de l’impression, qui a racheté Easyflyer en avril dernier… Un bouleversement pour cette start-up locale ? « On va garder notre autonomie et je vais continuer à embaucher qui je veux », promet ce trentenaire aux faux airs de Gilles Lellouche, dont il pourrait jouer les doublures. Il n’a cependant plus besoin, aujourd’hui, de faire le sosie de salle des fêtes pour arrondir ses fins de mois. Vingt ans plus tôt, en revanche… « Mes parents n’avaient pas d’argent », dit ainsi ce garçon qui passa « une année en fac de bio », avant d’enchaîner les petits boulots : à l’université, il n’avait pas supporté « d’être un numéro ».

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